CUBA, le nord (printemps 2016)

La première chose qui vous interpelle quand vous débarquez ici, ce sont toutes ces grosses voitures américaines qui ont connu leurs heures de gloire au milieu du XXème siècle qui marchent toujours, à force de rafistolages. Il y en a partout, sans la moindre concurrence. Et puis, en levant les yeux, vous voyez ces vieux palais délabrées au bord de l'écroulement, souvent encore habités. Et la rue si vivante, à la fois salle de jeu, atelier de réparation automobile, lieu de commerce en tous genre, où les amitiés se font et se défont. Bref, on n'est jamais blasé de sillonner les rues de ce théâtre vivant. Le soir, après quelques mojitos, on peut déguster une ou deux langoustes pour le prix d'un plat du jour le midi chez nous.

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LA HAVANE

La première chose qui vous interpelle quand vous débarquez ici, ce sont toutes ces grosses voitures américaines qui ont connu leurs heures de gloire au milieu du XXème siècle qui marchent toujours, à force de rafistolages. Il y en a partout, sans la moindre concurrence. Et puis, en levant les yeux, vous voyez ces vieux palais délabrées au bord de l'écroulement, souvent encore habités. Et la rue si vivante, à  la fois salle de jeu, atelier de réparation automobile, lieu de commerce en tous genre, où les amitiés se font et se défont. Bref, on n'est jamais blasé de sillonner les rues de ce théâtre vivant.

Départ arrêté devant le Gran teatro Alicia Alonso

A l'entrée du quartier chinois

Les stars du marché central

Circulation alternée

l'américaine rouge du Malecon

d'un pas léger sous protection (ou surveillance)

La cour de récré

La salle de repos

arrêt forcé

Cocci-space du Malecon

A ravaler

Toujours jeune

magasin d'Etat

Les pêcheurs du Malecon au niveau du vieux quartier

Les amoureux du Malecon au niveau du Vedado

Le Malecon est une grande avenue qui longe la côte sur 8 km. On y vient flâner, respirer le bon air, pêcher, flirter, se montrer, regarder les voitures passer ou tout simplement écouter le clapotis des vagues en mangeant une glace que nous proposent les nombreux vendeurs ambulants. Les magasins d'Etat sont des magasins en principe réservés aux cubains dans la mesure où on paie en pesos cubains (CUC), monnaie dédiée principalement aux ressortissants du pays. L'intérêt de ces magasins c'est que les produits vendus sont bien moins chers que dans les boutiques où l'on paie en devises. L'inconvénient, c'est que le choix des produit est très restreint et se limite en principe à des produits de première nécessité, le rhum en faisant partie évidemment. Il en résulte que l'échange au noir de devises contre  CUC est très facile.

CIENFUEGOS

Toujours jeune

Paseo El Prado à Cienfuegos

La sieste sous la protection du Che (La Havane)

GIRON au 55ème anniversaire de la victoire du socialisme

magasin d'Etat

la commémoration

les anciens combattants

Playa Giron est située à proximité de la baie des Cochons.

Le lendemain de notre arrivée à Cienfuegos, après Playa Giron, on y commémore au parque Jose Marti l'anniversaire de la création de la ville, avec défilés et reconstitutions.

la commémoration

au parque Jose Marti

coucher de soleil sur le Malecon

A Cienfuegos, le Malecon fait la jonction entre le centre ville et la punta qui est le quartier de villégiature aux belles villas en bois de style New Orleans ou de style rococco, comme ci contre.

En me baladant au petit matin dans le centre ville, je tombe une queue devant une porte tout à fait anonyme. J'y reste un moment, le temps de constater que les gens quittent l'immeuble avec des aliments de première nécessité dans un sac plastique.

distribution alimentaire

Hotel Palacio Azul

et la vallée de los ingenios

TRINIDAD

Plazza Mayor au petit matin

Une partie sérieuse

l'apprentissage

Sur les beaux pavés des rues du centre ville, on joue à tout âge. On joue aux dominos, on joue aux billes, on joue de la musique, on joue aussi aux cowboys, avec en guise de destrier, une vieille américaine cabossée et rafistolée de partout.

On l'appelait Trinidad

Pour varier les plaisirs, on peut se rendre à la gare située dans les faubourgs de la ville, au sud-est, et prendre le train pour se balader dans la vallée de los ingenios où l'esclavage sévissait encore il y a moins de 2 siècles. C'est l'occasion de vivre une aventure inoubliable avec les paysans locaux de retour chez eux. Etant donné l'état du train et de la voie, on n'est jamais sûr d'arriver à destination. En tous cas, il faut être patient et on fera de belles rencontres.

Portraits au puente sobre el Río Ay.

Un partage difficile

VINALES, sa vallée, ses mogotes

la vallée de los ingenios

Ici l'activité économique est essentiellement agricole, qu'il s'agisse de cultures vivrières ou du tabac, très renommé. La ville est très particulière avec ses bungalows colorés et la nature est belle et foisonnante. Les mogotes sont des gros rochers, un peu comme ceux qu'on peut voir au Vietnam dans la baie d'Along ou au Laos près de Thakhek.

Quand on s'éloigne un peu du centre ville, on arrive dans un quartier de petits pieds à terre de différentes couleurs, précédés d'une petite terrasse couverte, d'une petite pelouse et d'un grosse américaine ancienne. En s'éloignant encore un peu plus, on arrive dans la campagne. Les fermes sont généralement en bois avec un toit de chaume.

Ici on laboure sans tracteur mais avec un cigare

Champ de tabac

de la ferme...

au séchoir pour futurs montecristo.